Leprésident de la République Emmanuel Macron réunira autour de la Première ministre les acteurs des Jeux olympiques et paralympiques de Informatique de nouvelles questionsInformatique, 1151, Emilie90sauriez-vous comment afficher le périmètre de deux carrés sur géogébra ? Réponses Informatique, 1750, lauriane78Mon prof de techno m'as envoyer un audio par email il m'as dit d'utiliser un "reverse music" pour retrouver l'audio original mais je n'arrive pas trouver a quoi ça correspond. quelqun peut m'aider svp?Réponses Informatique, 1850, aybldzz69Comment on fait pour connecter 2 appareil entre eu moi on m’a demander de faire ça et je n’ai pas trouvé d’avance pour ce qui répondeRéponses Informatique, 1950, lauriane78Pouvez vous m’aider pour ces deux questions svp ? d’avanceRéponses Mathématiques, 1343Mathématiques, 1804Informatique, 1435Mathématiques, 1234Physique/Chimie, 0720Français, 0110Français, 0111Mathématiques, 0111Français, 0112Mathématiques, 0112 Ily aura 3 possibilités de qualification pour cette compétition aux Jeux Olympiques de Tokyo 2020: via le classement de la FIBA pour le 3x3 (4 places par sexe); via un tournoi de qualification olympique (3 places par sexe); et via un tournoi de qualification olympique universel (1 place par sexe). Plus de détails ici. UIPM . La pentathlète Ilke Ozyuksel a reçu le prix Mustafa Comme d’autres équipes, les Warriors ont dû faire des choix cet été, en laissant partir quelques joueurs. Néanmoins, le front office a su se montrer malin au moment de compenser les pertes, au point de réaliser un énorme coup à 61 millions de dollars. Une belle manoeuvre de la part des dirigeants, mais surtout des économies pour Joe Lacob. Champions ou pas, les Warriors n’allaient pas échapper à un certain ménage durant l’été, la faute à des fins de contrat. Gary Payton II cherchait logiquement à être payé après une belle saison, tout comme Otto Porter Jr, qui voulait se relancer. Les deux joueurs ont finalement quitté le navire, le premier pour Portland, le second pour les Raptors. Deux départs qui font mal, même si Golden State a parfaitement répondu sur le papier. Dans ces conditions, il faut souvent faire confiance au front office afin de réaliser de belles affaires, et on peut dire que le GM Bob Myers a réussi son coup. Donte DiVincenzo a renforcé les Dubs dès les premiers jours de la free agency, lui qui était à 9 points et 4 rebonds de moyenne l’an dernier. En début de semaine ? C’est JaMychal Green, vétéran très prisé, qui a trouvé un accord pour rejoindre la Californie. L’énorme coup des Warriors sur le marché Même si Payton II va manquer avec sa défense redoutable, on peut dire que Golden State s’en sort sur le papier. L’apport promet d’être intéressant de la part des deux joueurs, d’autant que Joe Lacob, le propriétaire, peut avoir le sourire. En remplaçant ces deux joueurs ainsi, le management va économiser beaucoup d’argent, plus de 60 millions à vrai dire. Comme quoi, il faut voir le positif. REPORT The Golden State Warriors saved $61M in luxury tax and salary by letting Gary Payton II and Otto Porter walk and replacing them with Donte DiVincenzo and JaMychal Green. via gswcba Legion Hoops LegionHoops July 20, 2022 Les Warriors ont économisé 61 millions de dollars en luxury tax et salaires, en laissant partir Gary Payton II et Otto Porter pour les remplacer par Donte DiVincenzo et JaMychal Green. Niveau argent, on peut dire que le move est très solide pour les Warriors. Sur les parquets, est-ce que le manque va se faire ressentir ? En défense, sans aucun doute, mais pour le reste ? Probablement pas. Une bonne manoeuvre pour les Dubs et Joe Lacob, qui se frotte les mains. Reste à savoir désormais si la franchise parviendra à prendre un nouveau titre. Les Warriors ont encore réalisé un joli coup sur le marché, du moins d’un point de vue économique. Les arrivées de DiVincenzo et Green sont bien vues par les fans, eux qui auront un gros rôle à jouer en sortie de banc la saison prochaine. En attendant, c’est Joe Lacob qui peut sourire. NikolaJokic, Will Barton et Gary Harris réalisent également un belle prestation avec 18 points, 6 rebonds, 5 passes décisives pour le premier, 14 points, 13 rebonds, 5 passes décisives pour le second et 19 points, 1 rebond, 5 passes décisives pour le troisième. Pour les Lakers, Anthony Davis réalise tout le boulot en l’absence de LeBron avec 32 points, 11 rebonds
Championnats du Monde 2006 Championnats de France 2005 Coupe de France en 2005 Championnats de France 2007 Site Championnats du Monde 2006 VR4 à Gera le hold up » des amis Après les Championnats du Monde 2003, Martial Ferré et moi-même, décidons d’arrêter la compétition Internationale. Mais, pour le plaisir, pour le sport, nous composons une équipe de VR8 avec d’autres anciens champions pour participer aux Championnats de France. Malgré le peu d’entraînement, nous pensons pouvoir réaliser quelques bons sauts et mettre ainsi un peu de pression amicale aux p’tits jeunes » du nouveau VR8 France, afin de les aguerrir pour leurs futurs rendez-vous internationaux. Bilan nous gagnons les Championnats de France 2004. En 2005, à la suite d’un malentendu avec un des équipiers, l’équipe se sépare. Mais Davide Moy, Julo Losantos, et Erwan Pouliquen, me proposent de remplacer dans leur VR4 Marin Ferré, qui doit suivre une formation professionnelle dans le cadre de sa reconversion. L’équipe Nice-Gap-Autrement est née. Elle est complétée par Yves Negrier, remplaçant, et Nicolas Ruellou, Videoman. Nous sommes Champion de France de VR4 en 2005, 2006 et 2007, terminons deuxième au Malievsky cup en 2006 avec une moyenne de points. Mais la plus belle page de l’aventure sera écrite lors des Championnats du Monde 2006 à Gera. Voir la video des championnats du monde 2006 VR4 à Gera En 2006, le contexte au niveau de la Direction Technique Nationale est morose. Il a été décidé de ne présenter aucune équipe de VR4 aux Championnats du Monde. Il n’y a pas d’équipe nationale en titre et le niveau des équipes espoirs est trop faible. Pour la première fois de l’histoire du parachutisme français, il n’y aura pas d’équipe de France aux Championnats du Monde. Nous décidons alors de relever le défi. Nous faisons part aux instances de la FFP de notre volonté de participer à la compétition, avec nos moyens propres. Après réflexion, la Direction technique Nationale accepte d’envoyer aux Championnats du Monde l’équipe qui sera Championne de France. C’est à nous de jouer. L’aventure commence, comme toujours avec sa part d’obstacles et d’incertitudes pour chacun. Pour ma part, après 8 ans de présence dans le VR8 France, je ne suis inscrit sur la liste des sportifs de haut niveau Elite » du ministère de la jeunesse et des sports que jusqu’au 31 décembre 2005. En avril 2006, je demande à mon entreprise, EDF, qui m’a toujours soutenu, du temps pour l’entraînement et les compétitions. Elle est d’accord, à la condition que je sois ré‑inscrit sur la liste des sportifs de haut niveau. Malheureusement les délais administratifs sont échus. Je ne pourrai pas bénéficier de détachements pour les entraînements et les compétitions. En 2006, au niveau international, les équipes fortes sont les américains, avec 2000 sauts d’entraînement, les Italiens, avec 1800 sauts, les Russes, avec 2000 sauts, les Belges, 1600 sauts et les Norvégiens, 1600 sauts et des dizaines d’heures de soufflerie à leur actif. Nous n’atteignons, grâce à l’implication du centre de Gap-Tallard et du CP Nice qu’un volume d’entraînement de … 101 sauts. Malgré l’expérience accumulée pendant de nombreuses années en compétition, le groupe est conscient qu’avec seulement quelques dizaines de sauts, il est difficile d’espérer, sauf miracle, un très bon résultat aux Championnats du Monde. La philosophie du groupe est basée en priorité sue le plaisir de voler ensemble, sans pression. Nous sommes tous animés par la passion de la compétition et nous partageons une grande complicité. L’objectif est de finir dans les 5 premiers et d’approcher 21 points de moyenne. Pour trois d’entre nous, ces Championnats du Monde seront les derniers. Nous voulons représenter la France dignement. Mon expérience du VR4 est bien inférieure à celle de mes coéquipiers, qui sont tous de grands spécialistes, avec des titres prestigieux vice-Champion du Monde en 2001 en Espagne et en 2004 en Croatie, Champion du Monde en 2003 à Gap. Depuis 1987, toutes les équipes de VR4 françaises ont toujours fini premières ou deuxièmes lors des Championnats du Monde. En outre, j’ai la lourde tâche de remplacer, en seulement 100 sauts, Marin Ferré. Si nous terminons au-delà de la cinquième place, la responsabilité en incombera à Polo. J’avoue que je ressens une certaine tension. Il va falloir rester concentré jusqu’au bout, ne rien lâcher quoiqu’il arrive. Rien à perdre » sera mon credo. Notre préparation à la compétition s’articule autour de 2 stages d’entraînement à Gap ; généralement, nous effectuons 10 sauts le matin et l’après-midi est consacrée aux débrieffing, chez Davide. L’entente est parfaite. Le budget fédéral est réservé aux équipes espoirs ; nous respectons cette décision je tiens à confirmer ce point ici. Contrairement à certaines allégations, notamment sur internet, nous n’avons ni pris la place des jeunes », ni profité du budget fédéral ». Nous sommes soutenus par le Centre de Gap-Tallard et par notre ami JP. Roso, Président du CPN qui nous permettent d’ effectuer une centaine de sauts. La société Icarius, Corrine Fitgérald, finance le voyage en Russie. La société Basik Air Concept, Jérôme Bunker, met à notre disposition du matériel pour les Championnats de France et l’entraînement. La société VIGIL, Yahnn Brohnnec nous offre les système de sécurité. Notre ami Bernard Conédéra, directeur de la cave des vignerons réunis de Sainte Cécile les vignes, est chargé … de la lutte contre la déshydratation. Le Championnat de France, à Vannes, est le premier test sérieux. Nous remportons la compétition assez facilement, avec 19 de moyenne, devant nos amis de Véloce qui n’affichent qu’un petit » 15,6. Mais nos sorties sont trop longues, la réalisation des blocs irrégulière. Toutefois, de très bons passages pendant les sauts nous donnent confiance. Nous savons à quoi doivent être consacrés les derniers jours d’entraînement. La compétition commence dans 15 jours. A notre arrivée à Gera, nous sentons que cette semaine des Championnats du Monde sera nerveusement difficile à gérer. Dès les premiers jours, nous retrouvons l’ambiance fébrile de la compétition. Le visionnage des sauts d’évaluation, notamment de l’équipe belge, est assez impressionnant ; le niveau s’annonce très relevé. Nous pensons aux aléas de la météo, aux attentes, parfois longues, mais aussi à l’enrichissement fabuleux que représente cette aventure dont nous avons tant rêvé. J’ai la curieuse sensation que je devais être là. Je suis déterminé à savourer chaque instant, de l’aboutissement de cette aventure pour laquelle nous avons, auparavant, fait tant de sacrifices. J’aime cette ambiance lors des compétitions internationales car toutes les équipes ressentent la même émotion, celle du dépassement de soi. La météo est capricieuse, les attentes sont interminables, les appels à l’embarquement puis les annulations ou les stands by » se multiplient. Les montées en avion jusqu’à 2000 mètres puis les re-descentes, les re-sauts », les re‑re‑sauts » seront le quotidien de ces dix jours de compétition. Nous avons, en plus, à supporter une certaine tension avec les membres de la DTN présents sur place, après des critiques dans Paramag au sujet du refus de la Fédération de prolonger mon statut de sportif de haut niveau. Nous avons tous la conviction que, comme souvent en compétition, c’est le mental qui fera la différence. Malgré cela, la pression est bien gérée. Elle s’efface devant la volonté collective de faire de bons sauts, sans penser au résultat final. Nous voulons profiter pleinement de ces instants magiques, tout en étant conscients qu’avec si peu d’entraînement, il ne faut pas s’attendre à un miracle face à des équipes très entraînées et expérimentées. Avant chaque saut, chacun répète le programme ; les yeux fermés pour certains, les écouteurs d’un baladeur dans les oreilles pour d’autres. La compétition de haut niveau doit s’approcher prudemment, avec finesse, pour être maîtrisée. Elle reflète chaque personnalité, la sérénité ou l’agressivité, sans tricherie possible. C’est d’abord une lutte contre soi-même. Dans quelques instants chacun va puiser au fond de lui toute son énergie pour voler le plus vite possible en harmonie avec le groupe. C’est l’instant où le temps suspend son vol, celui où le présent est le plus présent. J’ai toujours aimé ce moment on l’on oublie l’enjeu, le contexte, pour s’enivrer de la perfection du geste. premier saut 1. Nous sommes dans l’avion, sur axe. Les équipes devant nous quittent l’avion. Tous nos sens sont en éveil. Mise en place pour la figure N en direct. Elle sort parfaitement. Pour ce premier saut nous sommes animés par un stress positif. Le saut se déroule bien, les blocs » et les libres » s’enchaînent. Nous sommes pénalisés de 2 fautes imaginaires, le score final est de 17 points au lieu de 19. Mais qu’importe, nous sommes dans le rythme des meilleures équipes mondiales. Le vol est pur, le plaisir est là. Moi cela me va bien. Nous sommes sixièmes ex æquo avec les Allemands. deuxième saut. Le saut est technique, nous décidons d’éviter la mémo » en jouant avec le joker » ; un joker dans notre jargon, est un choix de construction plus long permettant d’éviter la mémorisation 2 pour certains équipiers. L’option retenue est de bâtir le saut avec des transitions non standards. Avec Julo en solo, le bloc 3 est fulgurant ; … le plus rapide du monde » d’après nos amis américains. Le résultat s’affiche 25 points, ex æquo avec les norvégiens et les belges. Seuls les américains et les italiens sont devant, avec respectivement 27 et 26 points. Nous gagnons une place ; nous sommes cinquièmes. troisième saut. Sur axe les allemands refusent de sauter, car les nuages sont denses, à bord trois autres équipes refusent à leur tour et demandent au pilote de redescendre. Nous manifestons notre volonté de sauter quand même. Dans l’avion la surprise est générale. En riant, nous nous frayons un chemin entre nos concurrents stupéfaits. Nous nous mettons en place. En sortie, la figure D directe est parfaite, les enchaînements rapides et les blocs réguliers. Résultat final 23 points, ex æquo avec les Russes. Nous reprenons un point aux Italiens. Seuls les Américains marquent un beau 25 points et s’envolent vers la victoire. Nous sommes quatrièmes. 1 En compétition de vol relatif à 4 VR4 chaque saut, est tiré au sort par les juges la veille de la compétition. C’est une combinaison de figures libres au nombre de 16, désignées chacune par une lettre et de blocs, qui combinent 2 figures au nombre de 22, désignés chacun par un nombre. Un libre vaut un point un bloc deux points. Pour déterminer un saut, les juges tirent des figures jusqu’à 5 points 6 au maximum 3 blocs. 2 C’est le terme utilisé lorsque 2, ou les 4 équipiers, doivent mémoriser le double de figure pour un saut, à cause du changement de leur place initiale dans la formation à l’issue d’un bloc. quatrième saut. Cette manche est décisive pour nous. Sans le savoir, je vais bientôt effectuer le saut le plus marquant de ma carrière. En sortie, la figure L directe est correcte, le lâché » rapide. Malgré la mémorisation pour Julo et moi, car le joker s’avére trop long pour cette construction. Les enchaînements sont dynamiques et les blocs passent sans accrocs. La plupart des équipes de tête sont à 17 points, sauf les Italiens qui effectuent un saut exceptionnel et marquent 19 points. Il semble que la manche soit pour eux. Notre saut est jugé 18 points. En fait, nous réalisons 19 points, mais nous sommes pénalisés d’un point car nous sommes passés dans les nuages et les juges n’ont pu voir une des figures. Nous avons le choix entre garder nos 18 points ou sauter à nouveau. Avec 18 points nous restons à la quatrième place provisoire au général. Nous hésitons à re-sauter » car nous savons bien que lorsque l’on effectue un bon saut, il est rare de pouvoir le réitérer dans la foulée ; à cause notamment du relâchement naturel de la concentration et de la perte d’influx nerveux. Finalement, nous décidons de tenter à nouveau notre chance. Nos concurrents directs attendent le résultat avec impatience. L’exécution du nouveau » saut est la copie fidèle de celle du précédent. A la surprise générale, nous réitérons notre performance. Le verdict tombe 18 points ; nous sommes encore passés dans les nuages et une figure n’a pu être jugée. Nous avons, à nouveau, la possibilité de refaire le saut. Conscients de vivre un moment inédit, nous nous consultons et … nous acceptons le re-re-saut ». Nos adversaires passent de la surprise à l’incrédulité. Nous avons 45 minutes pour nous concentrer, faire abstraction de la situation et de l’environnement. L’appel des 15 minutes retentit. Nous sommes en fin de journée. Comme un rituel, sous le regard du public, nous repassons une dernière fois les enchaînements sur les planches à roulettes, nous effectuons un bref passage par la maquette de l’avion pour une ultime répétition de la sortie. Cette fameuse sortie L, celle qui ne s’est jamais bien passée lors de nos entraînements à Gap, celle que nous n’avons parfaitement réussie que deux fois, lors des 2 sauts précédents. Il faut que la mise en place soit à nouveau la même. Nous sentons que sommes au nœud de la compétition. La météo est incertaine, sans doute que les dix sauts prévus ne seront pas tous réalisés. Le danger, à ce niveau de la compétition est l’excès de confiance, plutôt que la crainte. Il peut nous faire perdre le sens de l’air », la sensation des mouvements. La conscience de vol n’est pas acquise, elle doit se conquérir à chaque saut. C’est la beauté du sport, de notre sport, au-delà de la technique la plus pure règne l’humain. Au milieu de la foule des supporters nous nous dirigeons vers l’embarquement faire le vide autour de nous, préserver la bulle, garder cette philosophie du plaisir de voler ensemble. Plus que jamais nous n’avons rien à perdre ». Nous sommes la première équipe à sortir de l’avion. Placé prés de la porte vitrée, à 1000 mètres, je regarde le paysage. Je m’efforce d’être dans le même état d’esprit qu’à l’entraînement. 2500 mètres, il faut commencer à s’isoler. D’un même mouvement, nous enfilons casques et gants. Les regards sont remplis de complicité, les altimètres indiquent 3200 mètres, deux minutes avant le largage, la lumière est rouge. La lumière est jaune, nous sommes sur axe. Davide et Julo ouvrent la porte, nous nous mettons en place. La lumière est verte, nous saisissons nos prises, je suis en piqueur, en cater » dans les jambes de Davide, qui est lui-même piqueur, en valise » sur Erwan. Ce dernier, en flotteur bas, se tient avec la main droite à l’avion et avec la gauche, il tient la jambe gauche de Julo flotteur haut. Davide donne le OK. En sortie, la figure L est à nouveau réussie, comme les deux fois précédentes. Le lâché, dans le vent relatif, pour aller en bipole » est rapide. Les transitions s’enchaînent bien, la mémo » n’est plus un problème, l’anticipation et la concentration sont au rendez vous. Les blocs sont fluides, les prises tombent dans les mains. Rien n’accroche dans ce saut. Aujourd’hui, en fermant les yeux, je peux revivre encore et encore chacun de ces instants magiques. Dès l’atterrissage, nous sommes satisfaits, car nous savons que nous avons réalisé un bon saut, en tout cas pas plus mauvais que les deux précédents. Nous attendons le résultat. Le jugement se fait pendant le visionnage de l’enregistrement du saut, en direct dans le grand hangar de l’aérodrome de Gera. Tous les compétiteurs et supporters sont présents. Sur l’écran géant apparaît, à coté du drapeau français, le numéro de notre équipe. On aperçoit notre mise en place. Nous retenons notre souffle. Le OK de départ de Davide est bien visible. Le chronomètre se déclenche. Le silence s’est installé dans ce hangar immense. Chacun de nous vit le saut avec la même intensité que pendant la chute. 17 points, 18 points, il reste encore du temps, à 35 secondes l’image s’arrête sur un score final de… 21 points. Après un instant de stupeur, une clameur retentit, celle des encouragements et des applaudissements des supporters et des compétiteurs. Nous sommes deuxièmes ex æquo avec les Italiens et nous devançons d’un point les russes. C’est la première fois qu’un saut est refait trois fois dans un Championnat du Monde. Je totalise à ce jour 17300 sauts, mais c’est ce septième saut à Gera qui m’a le plus marqué de toute ma carrière. Envahis par une joie profonde, nous sommes conscients, malgré l’euphorie ambiante, que la compétition n’est pas terminée. Nous n’avons rien à perdre, mais nous sentons que quelque chose est train de se passer. Nous devons garder notre sérénité. Le saut suivant sera déterminant ; toutes les équipes sont dans un mouchoir de poche, la moindre erreur peut nous évincer du podium. cinquième saut. Malgré les appels à répétition, les stands by », les montées suivies de re-descentes en avion, il faut rester dans la compétition. Nous sommes dans le dernier avion de la journée. Nous ne savons pas encore que ce saut sera le dernier de la compétition, à cause de la météo. La figure F en sortie d’avion n’est pas difficile à réaliser, mais fragile part sa conception . Sa réalisation peut s’avérer délicate. Malgré notre classement actuel, sans hésitation nous décidons de la sortir en direct. Nous resterons fidèles à l’esprit qui nous anime. Il est difficile de décrire à posteriori les sensations à ce moment là, cette alchimie entre confiance et entente, la concentration à son paroxysme. Nous sommes au crépuscule, mise en place, le OK est donné. La sortie se passe très bien, le saut se déroule avec fluidité, les blocs, la mémorisation pour Julo et moi, l’anticipation. J’ai l’impression que rien ne peut nous arriver. Le vol est intuitif, la pression bien gérée. Quinze minutes après notre posé », tout le monde est réuni devant l’écran géant et attend les derniers résultats. A ce moment, nous sommes deuxièmes ex æquo avec les Italiens, en cas d’égalité sur ce dernier saut, ce sera toujours le cas. Dans cette situation, le règlement stipule que l’avantage est donné à l’équipe qui affiche le meilleur score sur un des sauts. Les Italiens ont réalisé 26 points sur le deuxième, notre meilleure performance, sur le même, est 25 points. Si les deux équipes obtiennent le même score, c’est eux qui seront sacrés vice-Champion du Monde. Il est tard, le verdict définitif tombe les Russes ont 25 points, les Italiens 24 points et nous … 25 points. Nous laissons éclater notre joie. Nous sommes vice-Champion du Monde de vol relatif à 4 après seulement 101 sauts d’entraînement. L’équipe Championne du Monde et la délégation américaine qualifieront cette aventure de hold up du siècle ». Le lendemain, Creg Girard, Gary Smith et Solly Williams, présents aussi à Gera, viendront me féliciter, en m’annonçant que je fais désormais partie du cercle très restreint des cinq relativeurs mondiaux le cinquième est Pete Allum de plus de 40 ans à dépasser les 22 points de moyenne. Voir la video des championnats du monde 2006 VR4 à Gera Au moment où le récit s’achève, je ne peux refermer le livre des souvenirs sans saluer la performance historique, lors de ces mêmes Championnats du Monde, du 8 France ». Qui devient Champion du Monde dans la catégorie VR8, face à des Airspeed déstabilisés par la technique, la discipline et la lucidité de l’équipe française. Cette victoire, ils ne la doivent qu’à eux-même et à leur entraîneur Erwan Pouliquen, qui devient le premier relativeur français à avoir décroché un titre de champion du Monde en VR4 et en VR8. Leur trajectoire les conduira jusqu’aux Championnats du Monde 2008, où ils obtiendront une victoire écrasante sur leurs adversaires. Une pensée amicale aussi pour le VR4 féminin, déçu à Gera. Les filles seront seulement » vice-Championnes du Monde derrière les anglaises, après les avoir largement battues en Coupe du Monde l’année précédente, en Arizona. J’ai toujours été attiré par la compétition de haut niveau. Elle est un moyen, par l’implication personnelle qu’elle impose, l’intensité des émotions qu’elle procure et la rectitude des jugements qu’elle rend, de dépasser son quotidien, de se dépasser. D’entrer dans une relation intime avec soi même 3. Et parfois, rarement, très rarement, d’approcher, d’effleurer ce moment de grâce immédiate, où le présent est immobile. Les grecs anciens, dans la poussière d’Olympie, le connaissaient déjà, il l’appelaient kairos » 4, le moment juste, opportun, l’instant d’éternité ; celui qui laisse des traces indélébiles dans la conscience individuelle et collective de l’Homme. Si un jour j’ai peut être regardé le kairos » dans les yeux, c’est au cours du mois d’août 2006, dans le regard de mes équipiers, de mes amis, au moment où la porte s’est ouverte et où le vent a chanté à nos oreilles. 35 secondes c’est bien court, j’aurais voulu arrêter le temps, rendre cet instant fugitif éternel. Mais, finalement, peut‑être que pour chacun des membres de l’équipe il l’est toujours un peu. POLO GRISONI 3 Qui à pu exprimer mieux ce sentiment que l’éternel poète des antiques jeux olympiques O mon âme ! N’aspires pas à la vie éternelle, mais explore le champ des possibles » Pindare – VI av 4 Euripide V av dira du kairos c’est le meilleur des guides dans toutes entreprises humaines ». Championnats de France 2005 Les photos sont de Jean Pierre Bolle lors des championnats de France 2005 à Lapalisse . Nous gagnons les championnats de France. Crédit photos Jean Pierre Bolle Coupe de France en 2005 La première compétition de l’équipe à Pujaut lors de la Coupe de France en 2005. Nous remportons cette épreuve. Championnats de France 2007 Lors des championnats de France 2007 à Brienne le Chateau. Nous gagnons les championnats de France de vol relatif à 4 et à 8. C’est le doublé. Les photos sont de JP Bolle. Crédit photos Jean Pierre Bolle Site Web
DeTom Burke à Marcell Jacobs, en passant par Carl Lewis, Jesse Owens et Usain Bolt, découvrez tout les champions olympiques de l'emblématique course olympiq
Voici les classements complets, les réactions des médaillés et leurs palmarès. Une fois encore, ces Jeux sont dominés par l’équipe de Grande Bretagne qui montre que c’est la persévérence qui paie. Pour preuve, de nombreux médaillés à Athènes ajoutent une pièce à leur collection. Les Français, pour la plus part débutant en olympisme s’en sortent avec honneurs avec une médaille d’or pour Faustine Merret et une de bronze pour Rohart et Rambeau. Finn 21 août Tout s’est joué en fin de peloton entre Ben Ainslie et Rafael Trujillo. L’Anglais s’est contenté de contrôler son adversaire le plus proche en marquant son tableau arrière sans faire de faute. Mission réussie pour le médaillé d’or en Laser il y a quatre ans. Ainslie entre dans l’histoire Histoire histoire en remportant une deuxième médaille d’or, cette fois-ci en Finn. Rendez-vous dans quatre ans en... Star ?Vainqueur du jour manche N°3, le Polonais Kusznierevick garde la 3 place et prend la médialle de bronze. C’est par contre la plus mauvaise manche pour Guillaume Florent qui avait régaté contre Ben Ainslie il y a 4 ans en Laser au Jeux. Il termine 8e, soit finaliste. Encore un beau résultat. OR Ben AINSLIE GBR "Vous ne pensez jamais que cela puisse être simple aux Jeux Olympiques. Après mon début désastreux, j’ai essayé de tout remettre dans l’ordre. Et c’est avec soulagement que je suis revenu au top. Ce fut dur au début. Après ma disqualification ndr suite à une réclamation de Guillaume Florent, je suis sorti furieux de la salle de réclamation. Mais les gens autour de moi étaient positifs et il me disaient que ’si quelqu’un peu passer outre cela, c’est bien toi’ et cela m’a beaucoup aidé !" Le médaillé d’Or Ben Ainslie Anglais Né le 5/02/1977 à Macclesfield Grande Bretagne Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 Finn, 1er en 2000 Laser, 2e en 1996 Laser ; Championnats du monde 1er en 2002, 2003, 2004 Finn Classement général final après 11 régates 1. Ben Ainslie GBR 38,0 pts 2. Rafael Trujillo ESP 51,0 3. Mateusz Kusznierewicz POL 53,0 4. Karlo Kuret CRO 61,0 5. Aimilios Papathanasiou GRE 72,4 6. Anthony Nossiter AUS 93,0 7. Sebastien Godefroid BEL 96,0 8. Guillaume Florent FRA 96,0 9. Jonas Hoegh Christensen DAN 105,0 10. Joao Signorini BRE 113,0 11. Kevin Hall USA 115,0 12. David Burrows EIR 116,0 13. Dean Barker NZL 117,0 14. Daniel Birgmark SUE 118,0 15. Michael Maier TCH 120,0 16. Ali Enver Adakan TUR 124,0 17. Michael Fellmann ALL 127,0 18. Richard Clarke CAN 134,0 19. Jaap Zielhuis PBS 136,0 20. Gasper Vincec SLO 151,0 21. Vladimir Krutskikh RUS 173,0 22. Alejandro Colla ARG 174,0 23. Balazs Hajdu HUN 183,0 24. Michele Marchesini ITA 201,0 25. Imre Taveter EST 221,0 Yngling 21 août Déception pour les Françaises mais que le résultat final est bon. Bravo car Anne, Elodie et Marion on remporté une manche menée de bout en bout. Déception car elles terminent 5e au général à seulement 2 points du bronze et 7 de l’argent. Ce n’est pas passé loin mais une place de 5e au final est un très beau résultat. Pour l’Or, les anglaises n’avaient pas à régater. L’argent revient donc aux Ukrainiennes, 5e aujourd’hui, qui passent juste devant les Danoises. OR Shirley ROBERTSON GBR "Ce fut plus difficile que je ne l’aurais pensé. Je pensais que cela aurait été plus facile après avoir gagné une médaille d’or à Sydney. Si j’avais pensé que cela allait être aussi difficile, je n’aurais pas changé de série." La médaillée d’Or Shirley ROBERTSON Anglaise Née le 15/07/1968 à Dundee Grande Bretagne Palmarès Jeux Olympiques 1re 2004 Yngling, 1re 2000 Europe ; Championnats du monde 7e en 2003 Yngling Classement général final après 11 régates 1. Grande-Bretagne 39,0 pts Sarah Ayton, Shirley Robertson, Sarah Webb 2. Ukraine 50,0 Ganna Kalinina, Svitlana Matevusheva, Ruslana Taran 3. Danemark 54,0 Christina Borregaard Otzen, Dorte Jensen, Helle Jespersen 4. Pays-Bas 56,0 Annemieke Bes, Annelies Thies, Petronella de Jong 5. France 57,0 Marion Deplanque, Elodie Lesaffre, Anne le Helley 6. Allemagne 76,0 Anna Hoell, Veronika Lochbrunner, Kristin Wagner 7. Nouvelle-Zélande 77,0 Sharon Ferris, Kylie Jameson, Joanna White 8. Russie 79,0 Diana Krutskikh, Tatiana Lartseva, Ekaterina Skudina 9. Norvège 85,0 Karianne Eikeland, Lise Birgitte Fredriksen, Beate Kristiansen 10. Etats-Unis 86,0 Carol Cronin, Liz Filter, Nancy Haberland 11. Grèce 86,0 Eleni Dimitrakopoulou, Aikaterini Giakoumidou, Eftychia Mantzaraki 12. Espagne 86,0 Monica Azon, Graciela Pisonero, Marina Sanchez 13. Australie 92,0 Nicky Bethwaite, Karyn Gojnich, Kristen Kosmala 14. Italie 106,0 Angela Baroni, Giulia Conti, Alessandra Marenzi 15. Bermudes 108,0 Paula Lewin, Peta Lewin, Christine Patton 16. Canada 116,0 Deirdre Crampton, Chantal Leger, Lisa Ross 470 Hommes - Men 21 août Dernière manche en match race entre les Américains et les Anglais cette manche était en fait la manche numéro 3. Les Américains terminent 23e leur plus mauvais résultat soit avant derniers ! Mais juste devant le 470 anglais. C’est pour les deux teams, leur plus mauvais résultat. On garde donc le même classement qu’il y a deux jours et le titre revient à Foerster et Burnham ! Par contre, 11e aujourd’hui, soit cinq places devant les Suédois, les Japonais prennent la médaille de bronze. Déception du côté tricolore puisque Gildas et Nicolas terminent deuxièmes de la manche mais échouent à seulement 7 points du podium final. Très beau résultat quand même ! OR Kevin BURNHAM USA "Je viens juste de réaliser que nous avons la médaille d’or. C’est quelque chose dont je rêvais depuis toujours. J’ai participé à trois Jeux Olympiques et j’en rêve depuis 1975 quand j’ai commencé la voile. Actuellement, je discute avec Morgan Reece avec qui j’ai gagné une médaille d’argent à Barcelone pour éventuellement préparer les prochains Jeux en Tornado." ARGENT Nick ROGERS GBR "A Sydney, nous n’avons pas eu de médaille 4e. Il n’y a donc pas de compraison ! Le but est de gagner une médaille. Nous étions jeunes à Sydney. L’idée de revenir de Sydney sans médaille aurait été terrible. Je suis donc très content de cette médaille d’argent." Les médaillés d’Or Kevin BURNHAM & Paul FOERSTER Kevin BURNHAM Américain Né le 21/12/1956 à Hollis, NY USA Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 470, 2e en 1992 470 ; Championnats du monde 6e en 2002 470 Paul FOERSTER Américain Né le 19/11/1963 à Rangely, CO USA Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 470, 2e en 2000 470, 2e en 1992 Flying Dutchman ; Championnats du monde 6e en 2002 470 Classement général après 11 régates 1. Etats-Unis 71,0 pts Kevin Burnham, Paul Foerster 2. Grande-Bretagne 74,0 Joe Glanfield, Nick Rogers 3. Japon 90,0 Kazuto Seki, Kenjiro Todoroki 4. Suède 94,0 Martin Andersson, Johan Molund 5. France 97,0 Gildas Philippe, Nicolas le Berre 6. Pays-Bas 101,0 Kalle Coster, Sven Coster 7. Portugal 103,0 Alvaro Marinho, Miguel Nunes 8. Brésil 104,0 Bernardo Arndt, Alexandre Paradeda 9. Ukraine 106,0 Eugen Braslavets, Igor Matvienko 10. Italie 109,0 Andrea Trani, Gabrio Zandona 11. Allemagne 114,0 Felix Krabbe, Lucas Zellmer 12. Australie 119,0 Malcolm Page, Nathan Wilmot 13. Argentine 121,0 Javier Conte, Juan de la Fuente 14. Slovénie 126,0 Tomaz Copi, Davor Glavina 15. Israël 128,0 Udi Gal, Gideon Kliger 16. Eire 129,0 Ross Killian, Gerald Owens 17. Russie 132,0 Dmitry Berezkin, Mikhail Krutikov 18. Grèce 132,0 Andreas Kosmatopoulos, Konstantinos Trigkonis 19. Croatie 136,0 Tomislav Basic, Petar Cupac 20. Espagne 138,0 Gustavo Martinez, Dimas Wood 21. Pologne 157,0 Tomasz Jakubiak, Tomasz Stanczyk 22. Suisse 163,0 Simon Bruegger, Lukas Erni 23. Corée du Sud 171,0 Jung Sung-ahn, Kim Dae-young 24. Turquie 174,0 Selim Kakis, Hasan Kaan Ozgonenc 25. Danemark 191,0 Mads Moeller Hansen, Kristian Skjoedt Kjaergaard 26. Nouvelle-Zélande 200,0 Andrew Brown, Jamie Hunt 27. Hongrie 228,0 Csaba Cserep, Peter Czegai 470 Femmes 21 août Les Grèques étaient déjà sacrées après dix manches. Elles n’ont donc pas joué lors de la 11e régate manche n°3. Trois équipages se sont battu pour la médaille d’argent qui revient finalement aux Espagnoles, 5e aujourd’hui. Troisièmes, les Suédoises gardent le bronze en terminant dans le tableau arrière des Slovènes. Les Françaises terminent dixièmes au général. OR Aimilia TSOULFA GRE "Je suis très heureuse et fière parce que nous avons finalement gagné. Nous avons connu des périodes difficiles car Sofia a été blessée. Le plus important finalement c’est que nous soyons sur le podium malgré trois sans nous entraîner." OR Sofia BEKATOROU GRE "Ma blessure nous a rapprochées toutes les deux. Nous devons aussi cette victoire à nos partenaires d’entraînement Kosmotopoulos et Trigkonis." ARGENT Natalia VIA DUFRESNE ESP "Nous sommes très heureuses car nous avons une médaille. Rien n’était décidé avant la dernière manche. Nous avons commis quelques erreurs mais il semble que l’ont en ai finalement moins faites que les autres." Les médaillées d’Or Aimilia TSOULFA & Sofia BEKATOROU Aimilia TSOULFA Grèque Né le 15/05/1973 à Athènes Grèce Palmarès Jeux Olympiques 1re en 2004 470 ; Championnats du monde 1re en 2001, 2002 et 2003 470 Sofia BEKATOROU Grèque Né le 26/12/1977 à Athènes Grèce Palmarès Jeux Olympiques 1re en 2004 470 ; Championnats du monde 1re en 2001, 2002 et 2003 470 Classement général après 11 régates 1. Grèce 38,0 pts Sofia Bekatorou, Aimilia Tsoulfa 2. Espagne 62,0 Sandra Azon, Natalia Via Dufresne 3. Suède 63,0 Therese Torgersson, Vendela Zachrisson 4. Slovénie 65,0 Vesna Dekleva, Klara Maucec 5. Etats-Unis 84,0 Isabelle Kinsolving, Katie McDowell 6. Danemark 89,0 Michaela Meehan, Susanne Ward 7. Grande-Bretagne 91,0 Christina Bassadone, Katherine Hopson 8. Russie 94,0 Natalia Gaponovich, Vlada Ilienko 9. Pays-Bas 100,0 Margriet Matthijsse, Lisa Westerhof 10. France 100,0 Nadege Douroux, Ingrid Petitjean 11. Japon 101,0 Mitsuko Satake, Yuka Yoshisako 12. Argentine 102,0 Paula Reinoso, Maria Fernanda Sesto 13. Canada 103,0 Nikola Girke, Jen Provan 14. Australie 108,0 Jenny Armstrong, Belinda Stowell 15. Allemagne 109,0 Monika Leu, Stefanie Rothweiler 16. Nouvelle-Zélande 118,0 Linda Dickson, Shelley Hesson 17. Brésil 119,0 Adriana Kostiw, Fernanda Oliveira 18. Israël 122,0 Vered Buskila, Nike Kornecki 19. Hongrie 128,0 Anna Payr, Marta Weores 20. Italie 141,0 Myriam Cutolo, Elisabetta Saccheggiani Laser 22 août Superbe victoire pour Félix Pruvot qui enlève la dernière manche des Jeux en Laser tout comme l’ont fait les Françaises en Yngling. Une spécialité tricolore ? Un bon coup pour le moral de Félix qui pense sûrement déjà aux Jeux de Pékin. S’il termine 15e sur 42 Laseristes, il revient avec deux victoires de manche et un très bon résultat pour un français dans cette série exigeante. Pour les médialles, la dernière manche manche n°3 n’a rien changé. Le titre revient au Brésilien multiple champion du monde Robert Scheidt. OR Robert Scheidt BRA "je ne devrais probablement pas continuer en Laser. Je serai trop vieux dans quatre ans ! Je me donne deux ou trois mois pour me décider. Il est évident que cette série m’a apporté beaucoup de joies et j’ai vraiment pris du plaisir à naviguer. Mais je cherche aussi à connaître d’autres classes. Pour apprendre d’autres manières de naviguer, à travailler en équipage et sur la préparation. Cela m’intéresse aussi ! Je pense que je peux faire du bon boulot sur d’autres bateaux... c’est juste une question de temps." ARGENT Andreas Geritzer AUT "Robert Scheidt a encore une fois montré qu’il est le meilleur Laseriste. Il a mérité cette médaille d’or. Quant à moi, durant la semaine j’ai changé de la première à la septième place au général. Alors finalement, je suis très content de cette médaille d’argent. C’est indescriptible !" BRONZE Vasilij Zbogar SLO "C’est sûrement une grande surprise que je sois troisième. Je tiens à féliciter Scheidt et Geritzer. Ils ont très bien navigué. Mon début de course n’était pas très bon mais ensuite, j’ai appuyé sur l’accélérateur. J’ai essayé de travailler sur chaque manche et finalement j’obtiens cette position !" Le médaillé d’Or Robert Scheidt Brésilien Né le 15/04/1973 à Sao Paulo Brésil Palmarès Jeux Olympiques 1er 1996, 2004, 2e 2000 ; Championnats du monde 1er 2001, 2002, 2004, 2e 2003 Classement général après 11 régates 1. Robert Scheidt BRE 55,0 pts 2. Andreas Geritzer AUT 68,0 3. Vasilij Zbogar SLO 76,0 4. Paul Goodison GBR 81,0 5. Gustavo Lima POR 88,0 6. Karl Suneson SUE 104,0 7. Hamish Pepper NZL 108,3 8. Mark Mendelblatt USA 111,0 9. Michael Blackburn AUS 112,0 10. Luis Martinez ESP 120,0 11. Maciej Grabowski POL 125,0 12. Diego Emilio Romero ARG 134,0 13. Diego Negri ITA 139,0 14. Mate Arapov CRO 139,0 15. Felix Pruvot FRA 143,0 16. Evangelos Chimonas GRE 155,0 17. Gareth James Blanckenberg AFS 156,0 18. Philippe Bergmans BEL 159,0 19. Roope Suomalainen FIN 160,0 20. Allan Julie SEY 166,0 21. Peer Moberg NOR 198,0 22. Anders Nyholm DAN 203,0 23. Matias del Solar CHI 216,0 24. Kevin Lim MAL 220,0 25. Martin Trcka TCH 231,0 26. Maxim Semerkhanov RUS 235,0 27. Giedrius Guzys LIT 239,0 28. Haris Papadopoulos CHY 244,0 29. Bernard Luttmer CAN 245,0 30. Rory Fitzpatrick EIR 248,0 31. Qiang Chi CHN 251,0 32. Ho Kon Kim CDS 255,0 33. Kemal Muslubas TUR 256,0 34. Alejandro Foglia URU 277,0 35. Kunio Suzuki JAP 281,0 36. Yuriy Orlov UKR 314,0 37. Stanley Tan Kheng Siong SIN 322,0 38. Augusto Nicolini PER 329,0 39. Mario Aquilina MLT 339,0 40. Hafsteinn Geirsson ISL 344,0 41. Timothy Pitts ISV 381,0 42. Sami Kooheji BHN 384,0 Europe 22 août La Norvégienne a assuré lors de cette dernière manche chez les filles en contrôlant son adversaire directe la Tchèque Lenka Smidova. Les deux jeunes femmes terminent 10e et 12e. Deux place derrière et le tour est joué pour la sirène des jeux qui apporte l’Or à son pays. Blandine Roulle termine son chapionnat par une belle sixième place et se classe finalement 11e. OR Siren SUNDBY NOR "après ma disqualification dans le manche 3 et ma 19e place dans la 5e, j’ai pensé que tout allait dans le mauvais sens. Puis j’ai gagné trois manches d’affilée. Toutes les filles sont vraiment bonnes et toutes veulent gagner la médaille d’or. Peut-être que la raison pour laquelle j’ai gagné c’est que je me vois au devant de tous les autres. Je pense que je m’entraîne plus que toutes. C’est un plaisir pour moi de sortir et de naviguer tout le temps. Les conditions sont légères à Athènes et cela aurait pu être un peu plus venté. C’est plus fun de naviguer quand il y a du vent ! C’est plus excitant. Pour l’avenir, je vais continuer à naviguer mais je ne sais pas dans quelle série. Je déciderai après le meeting de l’ISAF en novembre. Le 470 féminin est une classe qui m’intéresse. Mais c’est dur de trouver une équipière. Je préfère quand même cette série au Yngling qui est un bateau lent." La médaillée d’Or Siren SUNDBY Norvégienne Née le 02/12/1982 à Loerenskog Norvège Palmarès Jeux Olympiques 1re 2004 ; Championnats du monde 1re 2003, 2004, 2e 2002, 7e 2001 Classement général final après 11 régates 1. Siren Sundby NOR 47,0 pts 2. Lenka Smidova TCH 65,0 3. Signe Livbjerg DAN 74,0 4. Sarah Blanck AUS 75,0 5. Sari Multala FIN 85,0 6. Serena Amato ARG 86,0 7. Shen Xiaoying CHN 88,0 8. Sarah Macky NZL 91,0 9. Virginia Kravarioti GRE 94,0 10. Petra Niemann ALL 96,0 11. Blandine Rouille FRA 97,0 12. Tania Elias Calles Wolf MEX 98,0 13. Neus Garriga ESP 108,0 14. Meg Galliard USA 113,0 15. Min Dezillie BEL 133,0 16. Larissa Nevierov ITA 144,0 17. Teja Cerne SLO 145,0 18. Maria Coleman EIR 147,0 19. Carolijn Brouwer PBS 151,0 20. Tatiana Drozdovskaya BLR 152,0 21. Monika Bronicka POL 162,0 22. Joana Pratas POR 169,0 23. Laura Baldwin GBR 178,0 24. Maiko Sato JAP 192,0 25. Natalia Ivanova RUS 204,0 Mistral Hommes 25 août Journée terrible pour Ricardo Santos en tête du classement avant cette manche mais qui craque ce midi et termine 17e. Il dégringole au classement général de la première à la plus mauvaise place. Le Brésilien est quatrième. Cela fait les affaires de Gal Fridman. Deuxième aujourd’hui, l’Israëlien remporte la médaille d’or. Le Grec Kaklamnankis prend la médaille d’argent. Vainqueur de la dernière manche, Nick Dempsey monte sur le podium et apporte une nouvelle médaille à la fantastique équipe de Grande Bretagne. 18e, julein Bontemps perd une place au général. OR Gal FRIDMAN ISR "Je suis très heureux car cette médaille d’or est la première de l’histoire Histoire histoire de mon pays. Alors tous mes compatriotes doivent faire la fête ! Les Israëliens n’ont pas arrêter de demander des retransmissions télé des régates de Mistral ce qui a été fait aujourd’hui. Alors tout le pays était en train de regarder la manche. Quand, juste après le départ, je me suis senti un peu fatigué, c’était comme si tout le pays me poussait pour gagner." ARGENT Nikos KAKLAMANAKIS GRE "Remporter une médaille d’argent pour mon pays lors de la dernière régate de ma carrière marque une fin idéale. C’est un grand honneur et je suis très heureux d’apporter cette médaille à mon pays." BRONZE Nick DEMPSEY GBR "Je suis très heureux aujourd’hui. Ce fut une grande journée puisque j’obtiens la médaille de bronze et que c’est quelque chose que je n’espérait pas il y a quelques jours de cela." Le médaillé d’Or Gal Fridman Israëlien Né le 16/09/1975 à Hadera Israël Palmarès Jeux Olympiques 1er 2004 ; Championnats du monde 1er en 2002, 2e en 1996, 3e en 2003, 4e en 2001 ; Championnats d’Europe 2e en 1995, 2002, 3e en 1997, 2001, 4e en 2003. Classement général final après 11 régates 1. Gal Fridman ISR 42,0 pts 2. Nikolaos Kaklamanakis GRE 52,0 3. Nick Dempsey GBR 53,0 4. Ricardo Santos BRE 54,0 5. Przemyslaw Miarczynski POL 73,0 6. Joao Rodrigues POR 78,0 7. Zhou Yuanguo CHN 84,0 8. Lars Kleppich AUS 84,0 9. Julien Bontemps FRA 89,0 10. Thomas Ashley NZL 98,0 11. Ertugrul Icingir TUR 105,0 12. Ivan Pastor ESP 112,0 13. Andreas Cariolou CHY 136,0 14. Chi Ho Ho HKG 138,0 15. Mariano Reutemann ARG 140,0 16. David Mauricio Mier Y Teran Cuevas MEX 142,0 17. Maxim Oberemko UKR 146,0 18. I Gusti Made Oka Sulaksana INA 167,0 19. Motokazu Kenjo JAP 170,0 20. Joeri van Dijk PBS 177,0 21. Arun Homraruen THA 189,0 22. Aron Gadorfalvi HUN 192,0 23. Foued Ourabi TUN 211,0 24. Richard Stauffacher SUI 222,0 25. Carlos Julio Flores Perez VEN 232,0 26. Riccardo Giordano ITA 234,0 27. Ok Duck-pil CDS 236,0 28. Peter Wells USA 241,0 29. Vladimir Moiseev RUS 252,0 30. Toni Wilhelm ALL 260,0 31. Tom Malina TCH 285,0 32. Angel Segura URU 294,0 33. Liyubomirov Nanev BUL 305,0 34. Martin Lapos SVQ 309,0 Mistral Femmes 25 août Quel final ! Dans du petit temps, Faustine Merret a maîtrisé parfaitement cette dernière manche en prenant le tableau arrière de sa concurrente principale, la Chinois Jian Yin. Cette dernière passe toutes les bouées en tête devant Faustine qui assure alors sa médaille d’argent. Mais derrière, c’est l’Italienne Sensini, championne olympique et du monde en titre qui craque. Elle se fait passer par Lee, Kendall et Lux, les autres grandes stars de la série. En terminant septième, Alessandra perd donc l’or mais rétrograde à la troisième place pour ne garder que l’argent. A noter que si les maîtres de l’ISAF étaient parvenus à faire passer un nouveau règlement interdisant les manches joker, Sensini avec un total de 41 points serait championne olympique. Mais lors de ces Jeux, les navigateurs ont pu retirer leur plus mauvaise manche, c’est donc Faustine qui s’impose ! A noter encore que la Française n’a remporté qu’une manche alors que Yin en a remporté 4, Sensini 2 et Kendall donc un grand succès pour la sociétaire des Crocodils de l’Elorn qui offre une première médaille à l’équipe de France depuis 1992 ! En plus c’est de l’or. Deuxième des sélections pour Sydney, Faustine avait toujours terminé sur un podium lors des derniers championnats du monde. Avant le début des Jeux elle avoit “avoir battu toutes ses concurrentes mais jamais toutes en même temps”. C’est chose faite. OR Faustine MERRET FRA "Je crois que l’émotion est présente depuis le début du championnat, c’est -à-dire dès le moment où j’ai accédé aux trois premières places. Depuis quatre ou cinq jours, j’ai l’impression de courir à chaque fois une finale. Cette denière manche était particulièrement difficile car nous étions près des Mistral Hommes. Or, ils ont terminé avant nous et il y a eu beaucoup d’agitation après la victoire de Gal Fridman. C’était difficile de faire abstraction de l’émotion qui régnait autour de cette victoire. J’ai eu une pensée pour Franck David - médaille d’or en planche en 1992, ndr-. Je me rends compte de mon challenge et j’en suis très fière. J’espère que cela va "booster" ceux qui sont toujours en course." ARGENT Jian YIN CHN "Peut-être que lors des précédents championnats, Faustine a eu des hauts et des bas. Mais lors de ce championnat, elle a été très régulière. Elle est plus mature et je pense qu’elle mérite cette médaille d’or." BRONZE Alessandra SENSINI ITA "J’ai pris un mauvais départ et beaucoup de filles me sont passé devant. Il a alors été très difficile pour moi de revenir sur celles de devant. Lors du deuxième bord de près, j’ai mal lu les oscillations et j’ai rétrogradé de la 2e à la 7e place. Mais ce la fait plaisir d’entendre que j’ai obtenu la médaille en l’honneur de la vieille garde. Plaisanterie à part, ce fut très physique et difficile pour moi dans les conditions de vent léger que l’on a rencontré ici. Dans ces conditions, on passait plus de temps à pomper qu’à tactiquer." La médaillée d’Or Faustine Merret Française Née le 13/03/1978 à Brest Brest brest France Palmarès Jeux Olympiques 1re 2004 ; Championnats du monde 2e en 1999, 2001, 3e en 1998, 2000, 2002, 2003, 2004 ; Championnats d’Europe 2e en 1999, 2000, 2003, 3e en 1997, 5e en 2001 Classement général final après 11 régates 1. Faustine Merret FRA 31,0 pts 2. Yin Jian CHN 33,0 3. Alessandra Sensini ITA 34,0 4. Lai Shan Lee HKG 42,0 5. Barbara Kendall NZL 58,0 6. Jessica Crisp AUS 74,0 7. Amelie Lux ALL 87,0 8. Blanca Manchon ESP 95,0 9. Natasha Sturges GBR 103,0 10. Olga Maslivets UKR 103,0 11. Jannicke Staalstrom NOR 107,0 12. Zofia Klepacka POL 113,0 13. Lee Korzits ISR 117,0 14. Anja Kaeser SUI 121,0 15. Athina Frai GRE 123,0 16. Lanee Beashel USA 126,0 17. Masako Imai JAP 135,0 18. Sigrid Rondelez BEL 148,0 19. Irina Konstantinova BUL 152,0 20. Vita Matise LET 193,0 21. Gabriella Hadjidamianou CHY 195,0 22. Catalina Walther ARG 208,0 23. Rosa Irene Campos Perez MEX 220,0 24. Livia Gyorbiro HUN 227,0 25. Carolina Borges BRE 229,0 26. Karla Barrera PUR 250,0 49ers 26 août Il fallait que les Ukrainiens Luka et Leonchuck terminent à une des deux premières places pour espérer prendre l’or aux Espagnols. Mais ceux-ci devaient, dans le même temps terminer au delà de la 12e place qui correspond à leurs plus mauvaises manches. Le suspens tient un temps puisque les Ukrainiens qui s’entraînent en Mer Noire réalisent un beau départ et sont même seconds un moment derrière le duo allemand. Mais Martinez et Fernadez remontent du milieu de peloton pour assurer leur première place finale sur le podium. Le classement avant la 16e et dernière manche ne change donc pas et sacre les Espagnols devant les Ukrainiens et les Anglais Draper & Hiscocks qui offrent une 5e médaille à l’équipe de Grande Bretagne. OR Iker MARTINEZ ESP "Ce fut une journée un peu difficile et ce fut probablement la régate la plus importante de notre vie... Si nous avions navigué dans des vents plus forts, les résultats seraient sans doute à peu près les mêmes. Alors je pense que nous Espagne, Ukraine et Grande Bretagne étions bien les meilleurs équipages." OR Xavier FERNANDEZ ESP "Aujourd’hui, nos concurrents ont été très fort mais nous gagnons la compétition et nous sommes très heureux ! ARGENT Rodion LUKA UKR "Pour être honnète, j’avoue que j’ai ressenti beaucoup de pression lors de cette dernière journée alors que nous avions assuré notre place sur le podium. C’est parce que nous pensions qu’il était possible de gagner et de jouer pour l’or. ALors, même si nous avions fini deuxièmes de cette dernière régate ils finissent 3e, je suis rassuré que cela n’aurait rien changé." ARGENT George LEONCHUK UKR "J’ai vraiment pris du plaisir sur ces régates. La compétition a été fair play et je suis heureux que nous ayons terminé les jeux avec succès tant le niveau de compétition était élevé. Nous allons continuer à naviguer ensemble même s’il est difficile d’en être sur. J’imagine que 40 pour-cent des équipages qui ont participé aux jeux vont faire de même." BRONZE Chris DRAPER GBR "Nous sommes quand même contents. La flotte des 49ers est fantastique. Tout le monde est bon et nous avons pris beaucoup de plaisir." BRONZE Simon HISCOCKS GBR "Nous sommes contents de finir troisièmes car les deux espagnols ont vraiment bien navigué. Ils ont navigué au dessus de notre niveau et ils méritent cette médaille d’or." Les médaillés d’Or Iker Martinez & Xabier Fernandez Iker Martinez Espagnol Né le 16/06/1977 à Saint-Sebastien Espagne Palmarès Jeux Olympiques 1er 2004 ; Championnats du monde 1er en 2004 et 2e en 2001 Xabier Fernandez Espagnol Né le 19/10/1976 à Ibarra Espagne Palmarès Jeux Olympiques 1er 2004 ; Championnats du monde 1er en 2004 et 2002, 2e en 2001 Classement général final après 16 régates 1. Espagne 67,0 pts Xavier Fernandez, Iker Martinez 2. Ukraine 72,0 George Leonchuk, Rodion Luka 3. Grande-Bretagne 77,0 Chris Draper, Simon Hiscocks 4. Norvège 88,0 Frode Bovim, Christoffer Sundby 5. Etats-Unis 92,0 Pete Spaulding, Tim Wadlow 6. Brésil 104,0 Rodrigo Duarte, Andre Fonseca 7. Australie 105,0 Gary Boyd, Chris Nicholson 8. Finlande 111,0 Thomas Johanson, Jukka Piirainen 9. Allemagne 116,0 Marcus Baur, Max Groy 10. Autriche 122,0 Nico Delle-Karth, Nikolaus Resch 11. France 130,0 Marc Audineau, Stephane Christidis 12. Suisse 137,0 Christopher Rast, Christian Steiger 13. Danemark 138,0 Dennis Dengsoe Andersen, Michael Hestbaek 14. Italie 138,0 Gianfranco Sibello, Piero Sibello 15. Japon 146,0 Kenji Nakamura, Masato Takaki 16. Eire 152,0 Fraser Brown, Tom Fitzpatrick 17. Grèce 181,4 Athanasios Pachoumas, Vasileios Portosalte 18. Pologne 190,0 Marcin Czajkowski, Krzysztof Kierkowski 19. Inde 253,0 Sumeet Patel, Malav Shroff Tornado 28 août Les Autrichiens Hagara et Steinacher n’ont pas tremblé lors de la dernière manche des Tornado. Premiers, tout simplement ! Ils terminent ainsi avec 11 points d’avance sur les seconds, les Américains Lovell et Ogeltree. Les Argentins Lange et Espinola sont neuvièmes, juste devant le tandem américain lors de cette dernière manche et assurent la médaille de bronze de trois petits points sur les super frenchies qui font deux lors de cette dernière manche. Superbe résultat pour une nouvelle médaille en chocolat en Tornado mais revenir sur le podium alors qu’ils étaient sixièmes avant cette dernière manche était quasiment mission impossible. OR Roman HAGARA AUT "Ce fut une compétition vraiment serrée ici à Athènes. Nous nous y attendions et nous savions que nous allions vivre des moments difficiles face aux Américains et aux Argentiniens. Pays Bas, France et Australie devient aussi être de sérieux concurrents. Nous avons pris de très bons départ lors des quatre premières manches. Ensuite les deux jours suivants ont été bons et le final vraiment fabuleux. Cette médaille a vraiment été plus difficile à obtenir que celle de Sydney. Huit équipages pouvaient remporter une médaille. Les régates ont donc été très serrées et il fallait être très attentifs aux variations du vent. En plus cette course a été rendue difficile avec deux types de vents différents, le Mételm et la brise thermique." OR Hans Peter STEINACHER AUT "Avant les Jeux, nous nous attendions à des problèmes techniques. Mais maintenant nous pouvons dire que tout a été parfaitement préparé. Les bateaux ont été parfaits et il n’y a pas eu de problème de jauge." ARGENT John LOVELL USA "Ici c’était super. J’ai vraiment pris du plaisir à naviguer à Athènes. Le plan d’eau était bon mais parfois rendu difficile par la brise du nord et de nord-ouest. Nous nous y étions pas préparés. Nous avons navigué ici trois mois et nous avions rencontré ces conditions que deux ou trois fois. Nous préférions le thermique et c’est dans ces conditions que nous avons fait nos meilleurs résultats. Finalement, c’est bien pour moi ! J’ai mis douze ans à essayer d’obtenir une médaille et j’ai enfin atteint mon but." BRONZE Santiago LANGE ARG "Ce fut agréable de naviguer en Tornado lors des dernières années. Ce fut super d’être ici et j’attendais ce moment depuis longtemps." Les médaillés d’Or Roman Hagara & Hans Peter Steinacher Roman Hagara Autrichien Né le 30/04/1966 à Vienne Autriche Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 et 2000 ; Championnats du monde 2e en 2001 et 4e en 2002 Peter Steinacher Autrichien Né le 9/09/1968 à Zell am See Autriche Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 et 2000 ; Championnats du monde 2e en 2001 et 4e en 2002 Classement général final après 11 régates 1. Autriche 34,0 pts Roman Hagara, Hans Peter Steinacher 2. Etats-Unis 45,0 John Lovell, Charlie Ogletree 3. Argentine 54,0 Santiago Lange, Carlos Espinola 4. France 57,0 Olivier Backes, Laurent Voiron 5. Pays-Bas 61,0 Mitch Booth, Herbert Dercksen 6. Australie 62,0 Darren Bundock, John Forbes 7. Porto Rico 72,0 Enrique Figueroa, Jorge Hernandez 8. Espagne 74,8 Fernando Echavarri, Anton Paz 9. Russie 76,0 Andrey Kirilyuk, Valery Ushkov 10. Italie 78,0 Francesco Marcolini, Edoardo Bianchi 11. Allemagne 94,0 Roland Gaebler, Gunnar Struckmann 12. Grèce 95,0 Iordanis Paschalidis, Christos Garefis 13. Grande-Bretagne 112,0 Leigh McMillan, Mark Bulkeley 14. Suède 113,0 Martin Strandberg, Kristian Mattsson 15. Canada 114,0 Oskar Johansson, John Curtis 16. Portugal 122,0 Diogo Cayolla, Nuno Barreto 17. Brésil 155,0 Maurico Santa Cruz Oliveira, Joao Carlos Jordao Star 28 août Les Brésiliens Grael et Ferreira n’avaient pas à régater lors de cette dernière manche pour remporter l’or. Ils se sont donc abstenus. La onzième manche a donc distribué les deux médailles restantes. En terminant deuxième, le duo canadien Macdonald et Wolfs prend donc la médaille d’argent. Les Français sont septièmes et sauvent une médaille de bronze ce qui reste un excellent résultat. La bonne opération du jour revient aux Suisses Marazzi et De Maria qui, même s’ils ne terminent que neuvièmes, prennent une honorable 4e place devant la star Paul Cayard. OR Torben GRAEL BRA "Je veux féliciter Ross MACDONALD - CAN et Mike WOLFS - CAN ainsi que Xavier ROHART - FRA et Pascal RAMBEAU - FRA pour leur places sur le podium..." ARGENT Ross MACDONALD CAN "Je veux juste dire combien je suis heureux de remporter la médaille d’argent. Ce fut difficile à cause des conditions changeantes et cela donne encore plus de valeur à notre surccès." BRONZE Xavier ROHART FRA "Je suis fier d’être aux côtés de Torben. C’est un régatier fantastique. Je me souviens quand j’ai participé à ma première régate, chez moi à Marseille. Le résultat était le même qu’aujourd’hui avec Torben qui gagne avec une sacrée avance. J’ai navigué sur différents types de bateaux et cela m’a apporté beaucoup d’expérience." Les médaillés d’Or Torben Grael et Marcelo Ferreira Torben Grael Brésilien Né le 22/07/1960 à São Paulo Brésil Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 et 1996 en Star, 2e en 1984 en Soling et 3e en 2000 en Star Marcelo Ferreira Brésilien Né le 26/09/1965 à Niterói Brésil Palmarès Jeux Olympiques 1er en 2004 et 1996 en Star et 3e en 2000 en Star Classement général final après 11 régates 1. Brésil 42,0 pts Torben Grael, Marcelo Ferreira 2. Canada 51,2 Ross McDonald, Mike Wolfs 3. France 54,0 Xavier Rohart, Pascal Rambeau 4. Suisse 70,0 Flavio Marazzi, Enrico De Maria 5. Etats-Unis 71,0 Paul Cayard, Phil Trinter 6. Grande-Bretagne 73,0 Iain Percy, Steve Mitchell 7. Italie 75,0 Francesco Bruni, Guido Vigna 8. Bermudes 82,0 Peter Bromby, Lee White 9. Danemark 83,0 Nicklas Holm, Claus Olesen 10. Espagne 85,0 Roberto Bermudez, Pablo Arrarte 11. Grèce 86,0 Leonidas Pelekanakis, Georgios Kontogouris 12. Suède 96,0 Fredrik Loof, Anders Ekstrom 13. Autriche 97,0 Hans Spitzauer, Andreas Hanakamp 14. Pays-Bas 98,0 Mark Neeleman, Peter van Niekerk 15. Australie 98,0 Colin Beashel, David Giles 16. Allemagne 110,0 Alexander Hagen, Jochen Wolfram 17. Eire 125,0 Mark Mansfield, Killian Collins Unautre classement des médailles olympiques. Publié par sawmix on lundi 1 septembre 2008. Libellés : Faucon Sportif, Fauconneries. Si les premières heures du mois de Septembre m'ont fait grillé ma LiveBox (les coups de foudre, soupir), elles m'ont également permis de prendre le temps de lire des Marianne encore non lu. Dont un qui donne, dans ses vendredi, 6 août 2021. 0736 Mise à jour vendredi, 6 août 2021. 1345 Le titre qu'elle convoitait tant, Christine Sinclair l'a finalement obtenu. La Canadienne de 38 ans, capitaine de l'équipe féminine du Canada depuis maintes années, totalise plus de buts que quiconque sur la scène internationale du soccer, hommes ou femmes. Mais il manquait à son palmarès un triomphe à un tournoi majeur. Jusqu'à vendredi. À lire également Julia Grosso a couronné des moments de grande tension en touchant la cible lors de la sixième ronde et le Canada a remporté la médaille d'or du tournoi de soccer féminin des Jeux olympiques de Tokyo, vendredi soir, grâce à une victoire de 3-2 aux tirs de barrage contre la Suède. Les deux clubs étaient à égalité 1-1 après 90 minutes de temps réglementaire et 30 minutes additionnelles. Après le but décisif, les joueuses du Canada ont accouru vers Grosso et Sinclair a levé ses bras dans les airs en guise de victoire avant de sauter sur ses coéquipières. Vraiment, elle paraît même plus jolie », a déclaré Sinclair, en levant la médaille d'or. Tout juste avant le but décisif, la gardienne Stephanie Labbé avait frustré Jonna Andersson en plongeant pour empêcher le ballon de toucher le coin inférieur droit du filet. Pendant la session de tirs de barrage, Labbé a bloqué un autre tir, celui d'Anna Anvegard. Elle a aussi eu l'aide de son poteau gauche sur le tout premier tir, celui de Kosovare Asllani, et celle de Caroline Seger, qui a vu sa tentative survoler la barre transversale alors qu'un but aurait procuré la médaille d'or aux Suédoises. Après l'échec de Seger, Deanne Rose a ramené le Canada a égalité 2-2 en déjouant Hedvig Lindahl. J'essaie de ne pas trop le sentir, de me réveiller de ce mauvais rêve », a déclaré Lindahl. Félicitations au Canada, elles ont bien défendu. Nous avions la médaille à portée de nous. » Pendant le temps réglementaire, Stina Blackstenuis a donné l'avance à la Suède pendant la 34e minute. Dominées jusque-là, les Canadiennes ont réussi à créer l'égalité à la 67e minute lorsque Jessie Fleming a touché la cible sur un penalty, après une infraction à l'endroit de Sinclair dans la surface de réparation quelques instants auparavant. Ignorée sur le coup par l'arbitre sur le terrain, l'infraction a été signalée après l'intervention de l'assistance vidéo à l'arbitrage. Fleming a aussi trouvé le fond du filet lors des tirs de barrage. Il s'agit de la première médaille d'or olympique pour l'équipe féminine du Canada, après des troisièmes places lors des Jeux de Londres, en 2012, et lors des Jeux de Rio de Janeiro, en 2016. Honnêtement, je n'arrive pas à croire ce qui vient juste d'arriver », a déclaré Sinclair, qui a marqué 187 buts en carrière. Pendant les 40 derniers jours, nous avions l'objectif de venir ici et de changer la couleur de la médaille. Et nous avons atterri au sommet du podium. C'est tout simplement un grand honneur de faire partie de ce groupe. » Le Canada a pu atteindre le match ultime du tournoi de soccer féminin en terminant d'abord au deuxième rang du groupe E avec cinq points en trois matchs, résultat d'une victoire de 2-1 contre le Chili et de matchs nuls de 1-1 face au Japon et à la Grande-Bretagne. En quarts de finale, la formation canadienne a eu besoin d'un but de Vanessa Gilles et de deux arrêts-clé de Labbé pour éliminer le Brésil 4-3 aux tirs de barrage, après 120 minutes complètes sans un seul but de part et d'autre. Puis, en demi-finale lundi, le Canada a éliminé ses grandes rivales des États-Unis, l'emportant 1-0 grâce au but de Fleming, sur un penalty, à la 75e minute. De leur côté, les Suédoises ont complètement dominé le groupe G, duquel elles sont sorties avec un dossier immaculé de trois gains et aucune défaite. La Suède a amorcé la phase de groupe en battant facilement les États-Unis 3-0, avant d'inscrire des victoires de 4-2 contre l'Australie et de 2-0 face à la Nouvelle-Zélande. En quarts de finale, les Suédoises ont défait le Japon 3-1 avant de prendre la mesure de l'Australie pour la deuxième fois du tournoi, cette fois par la plus mince des marges, 1-0.
Letitre de maître des sports de niveau international est donné aux athlètes qui pourraient réaliser un bon résultat aux championnats européens, mondiaux et olympiques. Un bon résultat est 4-8 place. Pour recevoir la catégorie la plus élevée dans la boxe - un maître honoré du sport, il est nécessaire de gagner des compétitions
4 Août 2012 , Rédigé par Léo Tamaki Publié dans Vidéos Deux vidéos du New York Times qui mettent en perspective les performances des champions olympiques depuis 116 ans. L'augmentation des performances est impressionnante. Thomas Burke, le champion olympique du 100 mètres sprint de 1896 serait 20 mètres derrière Usain Bolt. Bon, il faut tout de même noter que sa performance de 12s était loin derrière le record du monde de l'époque, 10s8, et qu'elle fut réalise sur une piste sableuse. Alfred Hajo, champion olympique du 100 mètres nage libre serait 42 mètres derrière Nathan Adrian. Mais, là aussi, il faut noter qu'il a nagé dans les eaux de la Méditerranée. Dans la vidéo sur la natation on peut entendre la réflexion suivante qui m'a fait sourire "No longer the best ever, just the best of their time." C'est déjà pas mal non? ;- Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous zoAoeQl. 335 425 41 111 438 217 90 494 199

gary réaliser un classement des champions olympiques