LalaitiĂšre et le pot au lait. YĂ©tili lit Ă  Nina La LaitiĂšre et le Pot au lait, fable bien connue de Jean de la Fontaine. Elle raconte l’histoire de Perrette, une jeune laitiĂšre qui se rend au marchĂ© pour vendre son lait. En chemin, elle est emportĂ©e par sa rĂȘverie et fait tomber son pot de lait avant mĂȘme d’avoir pu le vendre. Producteurs de lait de pĂšre en fils Ă  HeubĂ©court-Haricourt, prĂšs de Vernon Eure, les Gavelle tirent la sonnette d’alarme leur filiĂšre risque de disparaitre. Par Arielle Bossuyt PubliĂ© le 23 AoĂ»t 22 Ă  1930 Patricia, BenoĂźt et Manuel Gavelle travaillent avec Laurence Aumonier. Ensemble, ils gĂšrent l’exploitation familiale Ă  HeubĂ©court-Haricourt Eure, prĂšs de Vernon. ©Le DĂ©mocrate vernonnais PrĂ©s de Vernon Eure, Ă  HeubĂ©court-Haricourt, chez les Gavelle, on est Ă©leveur de pĂšre en fils depuis cinq gĂ©nĂ©rations, et ce malgrĂ© la crise de la filiĂšre laitiĂšre. Avec son pĂšre Manuel et deux autres associĂ©s, BenoĂźt a rejoint la ferme il y a cinq ans Le mĂ©tier Ă©tait dĂ©jĂ  en tension depuis quelques annĂ©es. On a constatĂ© la disparition de plusieurs fermes et l’agrandissement des autres. Mais jusque-lĂ , on Ă©tait plutĂŽt Ă©pargnĂ© », raconte BenoĂźt Gavelle, producteur de arrive l’annĂ©e 2022 et sa succession de problĂšmes. SĂ©cheresse, inflation, explosion du prix des charges les producteurs de lait sont pris Ă  la gorge. Jusque lĂ , on avait une visibilitĂ© sur deux ou trois ans. Aujourd’hui, tout est fluctuant, on ne peut rien prĂ©voir », explique de fourrageL’inflation, qui a commencĂ© bien avant la guerre en Ukraine », a fait monter les prix du gaz et du pĂ©trole. Ce qui, par effet crescendo, multiplie par quatre le prix de l’engrais Pour 30 tonnes, nous sommes passĂ©s de 5 000 € Ă  20 000 € », annonce-t-il. Et l’engrais est essentiel puisqu’il permet de cultiver le maĂŻs et autres cĂ©rĂ©ales utilisĂ©es pour nourrir les bĂȘtes fourrage.La sĂ©cheresse qui s’est abattue sur la France cet Ă©tĂ© n’a fait qu’aggraver le problĂšme Dans le Sud, les Ă©leveurs sont souvent confrontĂ©s au manque de fourrage. Mais dans le Grand Ouest, nous avons toujours eu du fourrage sauf cette annĂ©e oĂč mĂȘme la Bretagne et la Normandie sont dans une situation critique. » L’agriculteur prĂ©voit mĂȘme une baisse du stock de fourrage de 30%. Nous travaillons Ă  perte »Dans ce contexte, les producteurs de lait se demandent comment ils vont nourrir leurs bĂȘtes En temps normal, c’est dĂ©jĂ  compliquĂ© de vivre de son labeur. Avec l’inflation, tout augmente, mais pas le prix de la tonne de lait. Nous travaillons Ă  perte », se dĂ©sole, en ce moment sur ActuEn effet, si les salaires de certaines entreprises ont lĂ©gĂšrement augmentĂ© du fait de l’inflation, les producteurs de lait restent bloquĂ©s, malgrĂ© eux, sur les prix habituels L’idĂ©e est de ne pas augmenter le panier des mĂ©nages en pĂ©riode d’inflation, sauf qu’à la fin, c’est nous qui payons la note. » Par ailleurs, il dĂ©plore que les magasins de la grande distribution se livrent Ă  une guerre des prix au dĂ©triment de la filiĂšre. Laurent Duclos, prĂ©sident de la section lait de la FNSEA 27 implore l’État de prendre le problĂšme Ă  bras le corps Laurent Duclos, agriculteur et prĂ©sident de la section lait de la FNSEA 27 livre une analyse inquiĂ©tante de la situation actuelle. Une situation qui entraĂźnera, dĂšs le mois de septembre, une pĂ©nurie de lait La sĂ©cheresse d’envergure que nous connaissons cet Ă©tĂ© est en train d’anĂ©antir tout espoir d’une rĂ©colte de fourrage durant l’étĂ©. Le fourrage produit Ă  partir de luzerne et de maĂŻs et d’herbes compose l’alimentation des vaches laitiĂšres », explique-t-il. Par consĂ©quent, les agriculteurs utilisent les anciens stocks de fourrage mais lorsque ces derniers sont terminĂ©s, deux choix s’offrent Ă  eux acheter du fourrage Ă  l’extĂ©rieur, ce qui est bien trop coĂ»teux ou abattre ou vendre le cheptel, ce qui signe la fin de leur fonds de commerce. Laurent Duclos estime une baisse de production de fourrage de 20 Ă  30%. Face Ă  cette situation sans prĂ©cĂ©dent, Laurent Duclos, comme ses collĂšgues, rĂ©clament une application stricte de la loi Egalim afin que les contrats soient respectĂ©s. Cette loi permet une rĂ©munĂ©ration plus juste des Ă©leveurs puisqu’elle prend en compte le coĂ»t de production. Dans cette logique, la FNSEA demande une rĂ©actualisation mensuelle du calcul des coĂ»ts de production pour tenir compte de l’inflation. Les Ă©leveurs rĂ©clament Ă©galement des mesures fortes pour maintenir la filiĂšre laitiĂšre hors de l’eau. Cela passe notamment par une hausse de 20 centimes du litre de lait. Nous Ă©tions mobilisĂ©s jeudi 11 aoĂ»t devant les centrales d’achat dans l’Eure pour demander une augmentation du prix du lait dĂšs la rentrĂ©e », raconte Laurent Duclos. Et puisque la sĂ©cheresse a fortement impactĂ© la filiĂšre, les Ă©leveurs demande Ă  l’État de crĂ©er une cellule nationale de gestion de crise de la sĂ©cheresse pour l’agriculture. Nous attendons aussi des pouvoirs publics qu’ils expliquent aux consommateurs que pour conserver une production locale et française, il faut stopper les produits d’appels, en acceptant de payer plus cher. » PayĂ© au SMIC pour 70 heures de travail »En attendant, en France, le prix de la brique est actuellement le plus bas d’Europe Nous sommes au mĂȘme prix que la Pologne, lance BenoĂźt. Ici, tout a Ă©tĂ© fait pour que l’inflation soit limitĂ©e au dĂ©triment du marchĂ©. Nous sommes donc Ă  un peu plus de 4 %. En Allemagne, ce n’est pas un sujet. L’inflation gravite autour des 10 %, mais les agriculteurs sont payĂ©s au juste prix », poursuit BenoĂźt. Dans ces circonstances, certains prĂ©fĂšrent jeter l’éponge Dans mon entourage, des agriculteurs se prĂ©parent ou envisagent de partir. » Et il les comprend Être payĂ© Ă  peine au SMIC pour 70 heures de travail par semaine, ce n’est pas possible ».Ce manque de considĂ©ration pour la filiĂšre laitiĂšre risque mĂȘme d’avoir un impact beaucoup plus grave Dans notre profession, la moyenne d’ñge est de 50 ans. Il n’y a pas de renouvellement des gĂ©nĂ©rations. Beaucoup d’éleveurs se retrouvent Ă  cinq ans de la retraite. Qui va les remplacer ?» Pour crĂ©er un nouveau cheptel, il faut entre deux et trois ans. Si les exploitations ne sont pas reprises, la pĂ©nurie de lait risque de s’intensifier Si on ne rĂ©agit pas, toute une filiĂšre va disparaitre. Il faut que tout le monde joue le jeu », martĂšle BenoĂźt. Cet article vous a Ă©tĂ© utile ? Sachez que vous pouvez suivre Le DĂ©mocrate Vernonnais dans l’espace Mon Actu . En un clic, aprĂšs inscription, vous y retrouverez toute l’actualitĂ© de vos villes et marques favorites. 500grde lombrics (ou vers de terre de compost) livrĂ©s avec une litiĂšre de transport de 1kg composĂ©e de tourbe noir et blonde dĂ©veloppĂ©e par la ferme du Moutta. IdĂ©al pour un lombricomposteur de 3 Ă  4 personnes. Les vers de compost mangent la moitiĂ© de leur poids chaque jour. Avec la reproduction des vers, vous doublez la population des RĂ©digĂ© par , le 8 Oct 2015, Ă  6 h 04 min Patrick Seguin est un homme convaincu. NĂ© d’un pĂšre viticulteur et de grands-parents fermiers dans le Lot-et-Garonne. Il a toujours gardĂ© de sa jeunesse une certaine nostalgie et un vrai savoir-faire. Au point de dĂ©cider, aprĂšs une premiĂšre vie professionnelle comme artisan, de se lancer dans l’aventure de la Ferme de Tauziet et de prendre en charge l’exploitation des volailles et du potager. Avec la vente directe, il combat le diktat des grandes surfaces et s’insurge contre le tout discount. Comment ? Nous sommes allĂ©s Ă  sa rencontre pour en savoir plus. Vente directe acheter local Ă  des prix justes, c’est possible Des producteurs landais se sont regroupĂ©s et ont créé un site de vente en circuit court de produits du terroir, pour que le circuit court et la vente directe producteur constituent une solution durable permettant aux consommateurs et aux paysans de vivre mieux, individuellement, mais aussi ensemble ». Sur le principe d’une vente privĂ©e, comme pour le linge ou la cosmĂ©tique ils offrent la possibilitĂ© de commander votre volaille, boeuf, jambon, miel, Ă©pices, sur le mĂȘme espace. Le fonctionnement est hebdomadaire le groupement sĂ©lectionne les produits, regroupe les commandes le dimanche soir et collecte les produits en circuit frais. En tant que consommateur il suffit de s’inscrire sur le site et de sĂ©lectionner parmi les ventes ouvertes les produits que l’on souhaite, de rĂ©gler et de valider sa commande. Les colis frais et secs sont expĂ©diĂ©s en 24 h le mercredi. Une communautĂ© de producteur et d’agriculteurs La Ferme de Tauziet reprĂ©sente 39 producteurs aquitains soit plus de 300 produits volailles, truffes, boeuf, miel
. Qu’est-ce qui change vraiment pour le producteur ? Le groupement de producteurs rĂ©munĂšre les agriculteurs jusqu’à 4 fois le prix imposĂ© par la grande distribution. Les tarifs ne sont pas nĂ©gociĂ©s par le groupement. Les ventes se font sans qu’ils n’aient besoin de vendre directement sur les marchĂ©s, ou d’embaucher du personnel pour tenir une boutique alors qu’ils n’en ont pas les moyens. Patrick Seguin, producteur de la Ferme de Tauziet, nous rĂ©pond J’ai rencontrĂ© beaucoup de monde ! Producteurs voisins et membres Ă©galement, clients qui viennent retirer leur colis Ă  La Ferme, gens du village qui ont envie d’en savoir plus et se sentent concernĂ©s et fiers de leur rĂ©gion. C’est un lien social nouveau qui facilite l’entraide et permet d’échanger sur des projets ou des bons plans’. J’ai ainsi trouvĂ© un approvisionnement de pain dur que les boulangers du coin me garde afin de nourrir les poulardes que je vais sortir pour les fĂȘtes. Ces volailles seront finies’ au pain et au lait pendant prĂšs de 3 semaines avant de les retrouver sur les tables de cette fin d’annĂ©e. J’ai aussi rencontrĂ© des amateurs de bons produits. Cette convivialitĂ© est importante sans ĂȘtre essentielle. Elle rompt un peu l’isolement que chaque agriculteur vit au moins une fois, et me rappelle que mĂȘme si cette vocation est difficile, c’est vraiment ce que j’aime avant tout ! J’ai aussi pris beaucoup de plaisir Ă  retrouver mes volailles sur les tables des chefs Ă©toilĂ©s de la rĂ©gion. Les voir cuisiner et sublimer avec talent mes volailles ou lapins est une fiertĂ©. J’ai aussi toujours autant de joie Ă  savoir que la convivialitĂ© d’un dĂ©jeuner du dimanche se passe autour d’un poulet de Tauziet rĂŽti. » Avez-vous rĂ©ellement senti une amĂ©lioration au niveau de votre exploitation ? J’ai rĂ©ussi Ă  valoriser le meilleur de ma production et Ă  me concentrer sur mon coeur de mĂ©tier. J’ai mis en place de nouvelles parcelles, afin d’amĂ©liorer leur rotation et afin d’avoir une herbe dense en vĂ©gĂ©tation et en insectes en permanence. J’ai un dialogue rĂ©gulier avec mes partenaires la Ferme de Tauziet, ce qui m’aide dans des dĂ©cisions concernant l’évolution des choix de volailles, mais aussi sur les tailles des lots en fonction de la demande. J’ai ainsi rĂ©ussi Ă  dĂ©velopper mon activitĂ© telle que je l’envisageais, c’est-Ă -dire tirer le meilleur du terroir sur lequel mon exploitation est implantĂ©e, chercher Ă  faire la meilleure volaille, la pintade fermiĂšre comme on n’en fait plus, du lapin fermier de plein air. Ces Ă©changes me permettent de rester serein sur ma production. Sans oublier cette passion pour la poule noire landaise dont j’ai enfin rĂ©ussi grĂące Ă  mes associĂ©s et Ă  Slow Food qui l’a rĂ©fĂ©rencĂ© dans l’Arche du GoĂ»t, Ă  domestiquer et Ă  Ă©lever. Vous pourrez enfin la trouver sur les tables des grands chefs d’ici la fin de l’annĂ©e. C’était un gibier trĂšs prisĂ© au dĂ©but du siĂšcle dans les Landes, mais qui dit gibier dit sauvage’. À force de travail et de rĂ©flexion, nous avons rĂ©ussi Ă  mettre en place une poussiniĂšre, des reproducteurs et Ă  les maintenir sur une parcelle de 4000 mĂštres carrĂ©s dont elles ne s’échappent plus. » Pensez-vous que ce soit une idĂ©e Ă  creuser pour sauver notre agriculture ? Il y a beaucoup de chemin Ă  faire avant de sauver l’agriculture ! NĂ©anmoins il ne faut pas baisser les bras et cette initiative de La Ferme de apporte des solutions Ă©videntes en terme de non-gaspillage ne sont abattues que les volailles dĂ©jĂ  vendues et d’adaptation Ă  ma capacitĂ© de production qui guide le rythme des Ventes et non pas l’inverse Mais ce qui est sĂ»r c’est que les gens ont le choix de faire leurs courses autrement et de mieux consommer. L’exploitation non intensive en agroĂ©cologie est plus paisible Ă  la fois pour l’environnent, pour les animaux et les cultures, mais aussi pour moi en tant qu’exploitant. Je me procure le maĂŻs entier Ă  cĂŽtĂ© de ma Ferme, mais j’ai fait le choix de le concasser moi-mĂȘme, car il est plus riche ainsi. Je prĂ©fĂšre sortir 200 volailles par mois en les faisant du mieux que mon savoir-faire et mon terroir me le permet que de gĂ©rer un lot de 10 000 tĂȘtes par semaine, dont l’alimentation et la croissance, sont totalement sont totalement automatisĂ©es ! » Connaissez-vous d’autres alternatives de ce type ? consoGlobe vous recommande aussi... RĂ©digĂ© par CĂ©line Maman, Ă©ducatrice spĂ©cialisĂ©e, bloggeuse pour Mam’conseils, toujours en quĂȘte de nouveautĂ©s et d’initiatives qui nous permettent de consommer... Voir sa fiche et tous ses articles Devenir rĂ©dacteur
recettede vermicelle ivoirienne Mon - Sun 10:00 - 20:00. carte swile liste magasin; fleur exotique rustique; afedim location la rochelle; laurent gerra rtl ce matin ; musique relaxante musique douce. Home; About Us; Services; Cars; Blog; Contact; versets bibliques sur l'autorité spirituelle. vente de volaille à la ferme autour de moi. March 4, 2022 . forerunner ventures portfolio
ï»żDu lait de ferme, du beurre artisanal, de la glace... et tout ça en direct du pie de la vache 🐼 L'offre est tentante, pas vrai ? Et bien, il semblerait que ça soit ton jour de chance.... Veinard. 😜 Je t'ai listĂ© ci-dessous tous les producteurs bretons qui te proposent en vente directe du lait et ses dĂ©rivĂ©s beurre, crĂšme, glace, gwell, lait ribot, etc. Info 💡 Il y a un lien trĂšs fort entre l'alimentation de la vache et la qualitĂ© du lait. La LĂ©danaise Produits transformĂ©s Ă  la ferme Ă  base de lait entier de nos vaches Une ferme familiale et des valeurs simples
 Comment puis-je vous raconter cette aventure familiale et fraternelle
 Elle a commencĂ© il y a si longtemps !!! Dans mon enfance, tous les matins, je buvais le lait
 Les Vaches de Lesvenez Des vaches Jersiaise au lait idĂ©al pour les yaourts, le fromage blanc, les glaces, etc. Une ferme qui a su Ă©voluer et se dĂ©velopper au fil des gĂ©nĂ©rations. La ferme de Lesvenez est le fruit de plusieurs gĂ©nĂ©rations d’agriculteurs. Chacune de ces gĂ©nĂ©rations ont su
 Élevage dans un cadre bucolique
 Nos petites vaches jersiaises sont Ă©levĂ©es au grand air. Elles profitent d’un cadre bucolique », oĂč la biodiversitĂ© est un maĂźtre mot. Au hasard d
 JosĂ©phine, qui suis-je ? J’ai 29 ans et je suis installĂ©e sur mon exploitation depuis fin 2016. Mon exploitation fait 35 hectares et me sert Ă  faire brouter mes chĂšvres et produire leur alimentation. Je possù
 Vers un agriculture plus verte ! Nous sommes une ferme familiale avec 3 associĂ©s, et nous Ă©levons des vaches laitiĂšres nos copines noires et blanches ! De formation initiale ingĂ©nieur agroalimentaire, mon mari et moi
 Une entreprise Ă  taille humaine. La Ferme Gwel Ar Mor est une entreprise familiale Ă  taille humaine. Christophe, Patrice et Jean-Yves s’occupent avec Alan du troupeaux de vaches et des cultures dans les champs. La traite à
 Petite ferme agricole BIO
 La Ferme Ă  Fanfan, c’est ma petite exploitation d’agriculture biologique oĂč j’élĂšve des vaches qui me produisent du bon lait que je transforme en fromages et en desserts
 Élevage de brebis en plein air La Bergerie des Abers a Ă©tĂ© fondĂ© en 2008. Nous sommes Élodie et Ronan, installĂ©s depuis cette date sur la ferme familiale dans le pays des abers en nord FinistĂšre.
 Bergerie de Kroaz Min Fromages Bio au lait cru Tommes, Palets, Fromages Ă  tartiner. Faisselles, Yaourts... Une ancienne exploitation laitiĂšre intĂ©gralement rĂ©habilitĂ©e ! Nous sommes un couple qui Ă©levons des brebis laitiĂšres de race Lacaune en agriculture biologique avec transformation Ă  la ferme. Et nous
 Une ferme de 10 vaches bien chouchoutĂ©es Créée en 2019 Ă  Querrien, Boudig’ Laezh est une petite ferme de seulement 10 vaches en agriculture biologique. La totalitĂ© du lait que nos vaches bien choyĂ©es
 Ferme familiale Ă  Esse La Ferme Breizh Uhel est la ferme familiale que j’ai repris. Ainsi, depuis 2008, nous sommes associĂ©s en couple pour faire vivre cette exploitation. Nous produisons du lait avec une cinquantaine de vaches
 Une ferme laitiĂšre familiale
 Bonjour Ă  tous ! Bienvenue chez Michou CrĂšme, ferme laitiĂšre familiale depuis plusieurs gĂ©nĂ©rations au lieu-dit Kerhuel Ă  Coray. Nous sommes trois associĂ©s
 Ferme du Wern Viandes bovines et produits laitiers - Froment du LĂ©on Une ferme BIO depuis plus de dix ans La Ferme du Wern c’est BenoĂźt, installĂ© depuis 1998 et Isabelle qui l’a rejoint en 2011. Nous avons soixante cinq hectares en systĂšme herbager depuis 2001 et en bio depuis 2011.
 Agriculture raisonnĂ©e et vaches nourries sans OGM La Ferme de la vache Megh Lait est une ferme traditionnelle. Nous sommes situĂ©s dans les CĂŽtes d Armor. PrĂ©cisĂ©ment sur la petite commune de Saint Rieul, un
 Une ferme transmise de pĂšre en fils depuis 3 gĂ©nĂ©rations. La ferme Familiale des Margatiers est situĂ©e Ă  l’entrĂ©e de Saint-Suliac. On y Ă©lĂšve des Normandes depuis toujours. Remise en 
 La Fromagerie du Gros ChĂȘne naĂźt d’une collaboration entre deux passionnĂ©s d’agriculture. La ferme du Gros ChĂȘne est le fruit de la rencontre entre deux passionnĂ©s, Philippe, l’é  La Ferme du Vern Produits laitiers de qualitĂ© - Ferme raisonnĂ©e en agriculture biologique Une ferme engagĂ©e dans la voie du durable et de l’agriculture biologique. La ferme du Vern est situĂ©e sur la commune de Saint-Yvi FinistĂšre sud, Ă  proximitĂ© de Quimper. Elle est essentiellement orient
 Du beurre bigouden ! SituĂ© sur la route Pont l’AbbĂ© – PlonĂ©our-Lanvern, le GAEC de Kervannes propose du lait et du beurre de baratte produit sur place, Ă  la ferme. Ce GAEC Groupement Agricole d&rsquo
 SituĂ© entre l’Aven et le Belon, le GAEC de Kersegalou propose des produits laitiers, de la viande de bƓuf ainsi que du cidre fermier en circuit court toute l’annĂ©e. Vincent, Simon et Mikel composent l’é  La Ferme qui passe par 4 chemins !
 Notre ferme, qui a commencĂ© sa conversion BIO en mai 2019, est situĂ©e dans la petite commune bretonne de MellĂ©, dans le Pays de FougĂšres, au carrefour des Trois
 1 2 Suivant → Autourde 5 mois, ses dents de lait vont naturellement tomber. Vous pourrez en retrouver certaines dans sa gamelle ou dans son panier, mais d’autres resteront introuvablesparce qu’il les aura probablement avalĂ©es ! Ne vous inquiĂ©tez pas : c’est sans gravitĂ© pour sa santĂ©. Vers 7 mois, votre chiot a «la bouche faite», c’est-Ă -dire qu’il a acquis sa dentition dĂ©finitive soit

Des fruits et lĂ©gumes de saison en direct du producteur Nous mettons en place notre Ă©talage de fruits et lĂ©gumes les mardis de 13h30 Ă  18h. Et vendredis de 10h Ă  18h non stop. Pour les vendredis, vous pouvez rĂ©server votre panier Ă  l’avance ! Dans tous les cas, c’est sans engagement et vous ne payez que quand vous rĂ©cupĂ©rez vos produits ! Des fruits et lĂ©gumes frais Chaque matin nous nous activons dĂšs l’aube dans les champs pour vous proposer des produits les plus frais possible. Notre volontĂ© en pleine saison rĂ©colter et vendre le jour-mĂȘme ! Des lĂ©gumes locaux et de saison Nous cultivons tous nos lĂ©gumes et fruits Ă  la ferme, dans une dĂ©marche d’agriculture raisonnĂ©e. Nous vous proposons Ă©galement des conserves Ă©laborĂ©es par nos soins ratatouille et coulis de tomate, ainsi que des oeufs et du miel de producteurs partenaires. Que vous connaissiez l’univers de la ferme ou pas, vous ĂȘtes les bienvenus chez nous. Vous choisissez les produits que vous voulez, et nous sommes lĂ  pour vous les servir. Conseils, recettes, pluie et beau temps c’est aussi un plaisir de se rencontrer, tout simplement â˜ș ! Gagnez du temps ! RĂ©servez votre Panier Les avantages RapiditĂ© vous Ă©vitez la file d’attente d’ailleurs, n’hĂ©sitez pas Ă  vous signaler vos lĂ©gumes ont Ă©tĂ© prĂ©parĂ©s et mis Ă  part pour vous, Soutien vous nous permettez de gĂ©rer l’organisation de cette journĂ©e merci ! RĂ©servez avant jeudi 21h, et venez rĂ©cupĂ©rer votre panier de lĂ©gumes frais vendredi de 10h Ă  18h. RĂ©glez sur place en espĂšces ou chĂšque. Le mardi, il n’y a pas de rĂ©servation venez entre 13h30 et 18h, et faites votre marchĂ© !

DĂ©couvrezsur moi Agathe Mon camping Ă  la ferme par Pakita - Éditeur Rageot - Librairie Decitre Apparemment, javascript est dĂ©sactivĂ© sur votre navigateur. Javascript doit ĂȘtre activĂ© dans votre navigateur pour utiliser toutes les fonctionnalitĂ©s de ce site.
C’est une belle aventure dans laquelle s’est lancĂ© un jeune couple d’agriculteurs de SĂ©razereux, prĂšs de Chartres. Alors que le nombre d’exploitations laitiĂšres diminue en France, Clara Servian et Simon De Vos, ĂągĂ©s de 24 et 25 ans, se sont lancĂ© un dĂ©fi pour se diversifier. Ils ont créé leur propre Ă©levage sous le nom “Les Vaches de Fadainville” au sein d’un Groupement agricole d’exploitation en commun GAEC. Un investissement de €, aidĂ© par la RĂ©gion Perrette et le pot au lait, conte de notre enfance, devient ainsi une rĂ©alitĂ© en Eure-et-Loir. Tout consommateur qui le souhaite peut venir Ă  la ferme avec son bidon, sa bouteille en verre et apprĂ©cier le lait en direct du petit Ă©levage. Clara Servian et Simon De Vos se sont connus pendant leurs Ă©tudes en BTS Analyse, conduite et stratĂ©gie de l’entreprise agricole. Le jeune homme a repris l’exploitation de son pĂšre en 2017. Pendant ce temps sa compagne travaillait dans une ferme en Normandie qui faisait de la transformation de produits laitiers. Elle y a acquis une expĂ©rience qu’elle voulait mettre en Ɠuvre pour son propre compte. En 2019, un voisin, partant Ă  la retraite, a proposĂ© au jeune couple de reprendre son exploitation cĂ©rĂ©aliĂšre. Mais pour la jeune femme une ferme sans Ă©levage n’est pas une vraie ferme. AprĂšs les dĂ©marches nĂ©cessaires et la recherche de subventions, le GAEC a pu ĂȘtre créé. Le coĂ»t de l’installation est Ă©valuĂ© Ă  €. Le projet a bĂ©nĂ©ficiĂ© d’une aide de la RĂ©gion, grĂące au Feder Fonds europĂ©en de dĂ©veloppement rĂ©gional. Eleveurs de vaches charolaises Ă  Coltainville, ils ont choisi le 100 % circuits courts Sur les 210 hectares de l’exploitation, 195 sont cultivĂ©s en cĂ©rĂ©ales et 15 sont rĂ©servĂ©s dont 5 pour le pĂąturage et 5 pour la fauche. Ils amĂ©nagent une grange non adaptĂ©e aux engins agricoles, mais qui convient trĂšs bien Ă  l’installation du laboratoire de transformation et au magasin. Une autre partie servira de maison d’hiver, dite la stabulation, pour les vaches. Trois vaches kiwi Aujourd’hui, nous avons 3 vaches de race Kiwi. C’est un croisement de prim’Holstein blanche et noire et Jersiaise marron une race rustique qui s’adapte bien dans nos rĂ©gions. C’est un petit cheptel qui au fil des mois devrait s’agrandir, mais nous n’irons pas au-delĂ  d’une quinzaine de vaches laitiĂšres », rapporte Clara Fadainville, Clara Servian en compagnie d'Origami, l'une des premiĂšres vaches de son Ă©levage. La quarantaine de litres de lait produite par jour est transformĂ©e en crĂšme, fromage blanc, yaourt sur lit de confiture bio il faut un litre de lait pour 8 yaourts au lait entier brassĂ© ou Ă©crĂ©mĂ© non brassĂ©, beurre doux ou demi-sel, crĂšme fraĂźche. Le tout sans conservateur et sans colorant. Le lait cru entier se conserve 3 jours ou plus en le faisant bouillir. Nous demandons aux clients d’apporter leur bouteille afin de rĂ©duire l’emballage. » Produits sains et dynamique locale DĂ©jĂ , la premiĂšre vache, rĂ©pondant au joli nom d’Origami, est insĂ©minĂ©e. L’agricultrice est en attente de savoir si elle va avoir un petit. Neuf mois de gestation sont nĂ©cessaires et six mois pour Ă©lever le veau. J’espĂšre pouvoir proposer du veau Ă  la vente. C’est un lourd investissement, mais on savait oĂč on allait. Sur l’exploitation cĂ©rĂ©aliĂšre, il n’y a pas assez de travail pour deux. Nous vendons nos produits Ă  la ferme, mais Ă©galement aux petits revendeurs. Nous voulons partager nos valeurs produits sains, moins de transports, dynamiser le territoire, consommer frais, explique le couple. Les visiteurs peuvent rencontrer Origami et ses deux copines ainsi que l’endroit oĂč on les trait. Il y a un vrai retour aux choses simples et naturelles ».
RĂ©alisĂ©par la CommunautĂ© de communes le bĂątiment est d’une surface totale de 280 m2, comprenant 160 m2 en surface de vente et 120 m2 pour les locaux administratifs, les rĂ©serves et la chambre froide. 22 places de parking dont 2 pour handicapĂ©s constituent l’a surface d’accueil extĂ©rieure. L’ensemble ayant Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© par la CommunautĂ© de Communes et mis Ă  disposition

De nombreuses fermes sont installĂ©es sur le territoire. Les agriculteurs essonniens profitent de vastes espaces pour y cultiver les olĂ©agineux et les fourrages qui nourriront leurs prĂ©sents en Essonne de nombreux volaillers poulets, oies, dindes, lapins, des Ă©levages de poules pondeuses et un Ă©levage de porcs et d’agneaux fermiers. De plus, mets incontournable de la gastronomie française, le foie gras est Ă©galement produit en Essonne. Des Ă©leveurs caprins et bovins proposent aussi des produits laitiers de qualitĂ© lait cru, fromages, faisselles, beurre


EWqyffw. 424 218 73 428 470 192 477 110 439

vente de lait Ă  la ferme autour de moi